lundi 29 décembre 2008

Intempéries 2008 : 200 milliards de dollars

FRANCFORT (Reuters) - Le total des coûts financiers associés aux catastrophes naturelles qui auront marqué 2008 atteindra environ 200 milliards de dollars, le troisième bilan annuel le plus élevé, selon des estimations publiées par Munich Re.

Le numéro un mondial de la réassurance par le chiffre d'affaires indique, selon un extrait de son rapport annuel sur les catastrophes naturelles, que les pertes totales de 2008 seront plus de deux fois plus lourdes qu'en 2007.

Deux seules années auront été plus coûteuses, 2005 avec une facture record de 232 milliards de dollars, et 1995, année du tremblement de terre de Kobé au Japon. Le bilan économique des catastrophes de ces deux années-là est ajusté de l'inflation.

Les pertes assurées - couvertes par les compagnies d'assurance et de réassurance - ont grimpé quant à elles en 2008, selon les estimations de Munich Re, de 50% environ par rapport à 2007 pour atteindre 45 milliards de dollars, juste en dessous des 50 milliards déboursés par le secteur en 2005.

Pour les pertes assurées, l'ouragan Ike a été l'évènement le plus coûteux de l'année qui s'achève.

En ce qui concerne le bilan humain, l'Asie est restée cette année le continent le plus frappé, avec au moins 200.000 morts à cause du cyclone Nargis qui a balayé la Birmanie, tandis qu'au moins 70.000 personnes ont perdu la vie dans le tremblement de terre du Sichuan, en Chine.

Munich Re a ajouté que l'année 2008 n'avait pas échappé à la tendance long terme observée actuellement, à savoir des aléas climatiques extrêmes de plus en plus fréquents, suivis de catastrophes naturelles de plus en plus destructrices.

"Dans le débat international, nous, en tant qu'entreprise, appelons à des règles effectives et contraignantes sur les émissions de CO2 afin que le changement climatique soit freiné et que les générations futures n'aient pas à vivre avec des scénarios météorologiques difficiles à contrôler", conclut Torsten Jeworrek, membre du directoire de Munich Re, dans un communiqué.

Source : Reuters, Tyler Sitte, version française Gilles Guillaume, UsineNouvelles.com

samedi 13 décembre 2008

Comment éviter un Cancer

Le Cancer n'est pas une fatalité. Chacun de nos choix de vie de tous les jours augmente ou diminue ce risque. J'ai donné 20 ans de ma vie comme infirmier en milieu hospitalier et à domicile. Je pense en connaitre pas mal sur la maladie.

Je travaille depuis 7 ans dans l'environnement. J'en connais à présent pas mal sur les causes !!!

Le pire n'est pas la maladie mais l'ignorance.

Cancer, Crise Économique, Réchauffement Climatique, etc. toutes les catastrophes qui nous tombent sur la tête ne sont pas le résultat de la fatalité mais le résultat de nos choix (ou de nos absences de choix) et donc de notre capacité au discernement.

La pauvreté de la qualité de l'information à la télévision et dans la presse, le bombardement des publicités, le rythme de vie, etc., tout est fait pour nous faire perdre le «bon sens».

Il n'y a pas de fatalité. Il n'y a que des choix qui vous mène inexorablement vers un cancer ou non, vers le succès ou non, vers le bonheur ou non.

Il est possible d'éviter de faire un cancer. Décidez-le !

Il y plusieurs causes qui engendrent des facteurs (chimiques) déclenchant un cancer.

Parmi les causes il y a le stress, le milieu de vie et de travail, la pollution, l'alimentation, etc. Tout le monde le sait. Ce que l'on ne sait pas, c'est que le corps est capable de répondre à ces agressions et éviter le développement d'un cancer. Alors pourquoi ne le fait-il pas pour tout le monde ?

Regardez la réponse en vidéo ici:



Nous pouvons agir sur notre alimentation, notre habitation, notre rythme de vie, et bien plus encore.

Instruisez-vous pour comprendre et agir correctement en Harmonie avec la nature et vous-même. Prenez du temps de qualité pour vous.

Lorsque vous prenez l'avion, le personnel de bord vous apprends qu'en cas d'urgence il faut d'abord vous mettre le masque à oxygène avant de le mettre à votre enfant. Vous ne pourrez pas le sauvez si vous êtes inconscient. Il en est de même dans la vie.

Tous les bons parents font le maximum pour faire plaisir à leurs enfants. Et pourtant la plupart les «gâtes» avec des jouets ou des aliments qui les tuent un peu plus chaque jour !

Donner de l'argent pour le cancer ne sert à rien si cet argent va aux compagnies pharmaceutiques, les mêmes qui fabriquent les pesticides qui nous tuent. Pas plus que si vous multipliez tous les jours les agressions contre votre corps.

D'ici 2012 deux canadiens sur trois seront touchés par le cancer. En ferez-vous partie ?